mardi 11 septembre 2012

Voyage au bout de la nuisette... d'une fan

8h30, je suis à la gare du nord, lieu fréquenté par les putes et leurs clients mais aussi par des navetteurs. Gens qui sont prêts à payer pour baiser, gens qui sont prêts à payer pour être transporté comme des veaux à leur travail. Qui sont les plus cons? Travailler pour payer le transport pour travailler. Affaire de cocu, une de plus.

Moi j'y étais pour dégager. Cette ville de Bruxelles est à l'image de ses habitants, sale, dégueulasse, souillée.
Partir de cette ville histoire d'un weekend end, changer d'environnement, voir du monde... un autre monde.

Une petite lectrice de mes écrits répondant au doux nom de Clara, assez dérangée pour les apprécier, m'avait contactée en me disant toutes les conneries habituelles, me racontant sa vie pas intéressante pour un sous. M'ennuyant énormément, je m'étais distrait en lui répondant. Elle habite Paris, une autre ville dégueulasse.
Sa conversation n'était pas très intéressante mais pour une fois qu'on ne m'insultait pas... De fil en aiguille, elle se livra de plus en plus, m'envoyant des photos et des culottes avec son odeur suite à mes demandes répétées. Une très belle fille, de quoi filer la trique à un âne mort.
Une belle crinière blonde, mince, pas grassouillette, de jolis yeux bleus.
Mais de nos jours, avec l'informatique et tous ces programmes à la con, on peut vite trafiquer les photos. Je décidai donc de la voir en vrai. Au pire, si elle me faisait un faux plan, je me serais retrouvé seul à paris pour 2 jours.

Elle habitait encore chez ses parents, deux bons vieux pépères et mémères en peignoirs et pantoufles. Autant les pantoufles j'adore, c'est confortable, doux et chaud. Une sorte de vagin pour les pieds. Autant un peignoir, ça gratte et ça sert.
Ils avaient accepté que je passe la nuit chez eux sans me connaître, dans la piaule de leur gamine. Les cons.

Arrivé à Paris, après un voyage en train avec une vieille qui passa le trajet à me parler de ses petits enfants dont j'en avais rien à foutre et un gosse qui pleurait un peu plus loin dans le wagon, j'eus la superbe surprise de la voir sur le pied de la gare, grand sourire même si un peu timide. J'aime les filles timides. Elle était comme sur sa photo. Je m'attendais à ce qu'elle soit plus petite, elle devait faire un bon mètre 70.

On alla d'abord manger dans un petit bistrot un bon steak, en voyant son décolleté, j'avais eu une envie de viande bien saignante. Seigneur Dieu, s'il y a bien une chose que tu as réussi dans ta création c'est le boule et les jumeaux de certaines filles. Un vrai délice, j'avais envie de lui mettre une gigantesque baffe dans la gueule pour la faire taire, lui arracher ses fringues acheté dans ces magasins de petites qualités, la retourner sur la table et m'en faire mon dessert.
Malheureusement, la bien séance m'en empêcha. Je me promis, ainsi qu'à mon sexe Paul Vermus (Chacun donne le nom qu'il lui plait à son sexe), de me rattraper un peu plus tard.

Sortit de table, on flâna encore un peu dans la ville, il faisait bon, elle sentait bon. Je mis ses petites fesses dans ma main gauche et commença le malaxage. Bien ferme comme je les aime. C'est que les jeunes filles d'aujourd'hui font attention à leur corps.

Arrivé chez elle, après avoir tapé la conversation avec les parents, elle me montra la maison, la salle de bain, elle me proposa de prendre une douche.
Je m’approchai d'elle pour la plaquer contre le mur et l'embrassa, la caressant.
Surprise, elle ne savait plus quoi faire. Je sortis mon sexe dur et le pressa sur son ventre, chaud et doux.
Je la fit se mettre à genoux, un peu maladroite au départ, ayant même peur qu'elle me raye le capot, elle s'améliora rapidement et me suça bientôt comme une pro.
Je la fis se déshabiller totalement et la mit dans la douche, lui demandant de se caresser sous l'eau avec du savon.
Elle s'en mit partout, un vrai délice pour les yeux. Pour son âge, elle avait des formes d'adulte.
Une fois bien huilé, je la rejoignis, la courbai et l'enfilai.
Elle avait perdu toute son inhibition, Elle me jetait des regards de véritable actrice porno qui en veut. Ça tombe bien, je suis très généreux.
Elle commença à trembler des jambes et me dit d'arrêter, qu'elle n'en pouvait plus, qu'elle allait crier. Je lui dis de ne pas s'en faire, que ses parents regardaient la télé et que de toute façon le bruit de la douche ferait barrage sonore.
Elle commença à pousser des petits cris de plus en plus sonores tout en essayant de se contenir.
Je lui proposai, par gentillesse de ma part, de ménager son petit minou si confortable, si chaud, si doux pour sa porte de derrière. Enorme choix pour elle, elle ne savait plus que faire. Je continuais mes va-et-vient entre ses lèvres douces.
Elle finit par me dire d'accord. Ses jambes ne la soutenant plus, elle était tombée à genoux. Mon sexe luisant, mélange de savon, de sa mouille et de mon lubrifiant naturel, rentra comme dans du beurre entre ses fesses. Quelles fesses!
Son cul était serré, un vrai plaisir.
Assez rapidement, à partir de là, je sentis la sève monter. Je sortis en urgence de son cul, la fit pivoter et lui fourra à nouveau mon sexe gonflé, brûlant au plus profond de sa gorge. Elle faillit se noyer sous les rafales de ma douce crème blanche. Une fois apaisée, elle continua à lécher et sucer mon chibre, doucement, affectueusement, délicatement et toujours avec ce regard d'actrice porno mais cette fois-ci, pleinement rassasiée.

Totalement épuisé par le voyage et par la baise, je m'écroulai sur son lit. Une couette, j'adore. Je ne supporte pas les couvertures, ça gratte.
Elle me rejoignit toujours nue et se blottit dans mes bras. Et merde, de la douceur maintenant... Elle me caressait le torse, le ventre, un peu le sexe. Je lui dis de me lécher les tétons. On s'embrassa jusqu'à ce que je tombe dans le sommeil.

Vers 5 heure du mat', je me réveillai en pleine forme. Elle dormait sur le ventre, nue. Je malaxai son petit cul bien rebondi, écartai un peu ses fesses et commençai à lécher son petit anus que j'avais écartelé quelques heures plus tôt sous la douche. Une merveille.
Elle commença à se réveiller en gémissant et ondulant. Elle se retourna et je lui bouffai le minou immédiatement. Un délice.
Quand je voulu remonter pour lui faire l'amour, elle me dit qu'on ne pouvait pas parce que ses parents dormaient dans la piaule d'à côté.
J'eus l'impression de m'être  fait avoir et ça, j'aime pas. Si je lèche, c'est pour pouvoir passer avec plus de facilité. Elle se retourna et se rendormit. J'avais la haine, mon sexe était dur comme un parpaing que j'aurais voulu voir lui fracasser la nuque à défaut de son petit anus.
Il fallait que j'évacue la sève qui montait et vite mais pas envie de la gâcher dans un mouchoir alors, discrètement, je sortis de sa chambre, dans le noir et me faufilai dans celle de ses parents. Son père faisait un bruit dégueulasse avec ses ronflements, j'aurais pu baiser sa fille tranquillement à côté sans problème, ses ronflements auraient fait une barrière sonore...
J'étais de plus en plus dégouté.
J'étais nu en train de me masturber dans leur piaule qui sentait le vieux.
Mon sexe était juste au-dessus de la tête de la mère de famille. Dans le noir, je ne voyais pas grand-chose, j'essayai de viser les narines de la mère quand mon sexe explosa de bonheur. Tout alla droit dans les narines. La daronne eu un réflexe nasale auquel je ne m'attendais pas et le foutre mélangé à sa morve sortit en un éclair sur mon sexe dans un bruit de truie se jetant dans la boue.
Elle alluma la lumière et vit mon chibre bandé et luisant recouvert de ma précieuse semence et de son mucus dégueulasse. Le même chibre qui avait aéré sa petite fille sous sa douche. Elle cria. Le padré se réveilla et vit la même scène. Halluciné, surement par la taille de mon précieux, il resta la bouche grande ouverte. J'suis pas pd moi alors je sortis de leur chambre. Ils crièrent "dégage de notre maison petit salopard". Leur fille s'était réveillée, elle pleurait. Elle avait qu'à accepter de baiser, mais non, madame voulait dormir... Ça lui apprendra.
Résultat des courses, je me retrouvai dehors à flâner dans un Paris encore endormit. J'adore me balader. La vie est une gigantesque balade dont il faut apprécier chaque instant.

samedi 8 septembre 2012

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Yo les dégénérés, juste pour vous dire que je suis en train d'écrire une grosse nouvelle qui va faire durcir votre sexe à tel point que vous pourrez vous auto-sucer. J'ai créé pour l'occasion une page facebook grâce à laquelle je pourrai vous avertir plus facilement de quand je sors d'un coma éthylique et que je me mets à écrire. Voici le lien alors incrivez vous bande de biatch : Mon facebook