mardi 15 janvier 2019

Mise à jour

Je ne sais pas pourquoi, mais il y avait plusieurs textes en brouillon.
Je pense que c'est pcq je devais les terminer.
Je sais pas, j'ai pas relu pcq je m'en fou. Mais pour ceux qui voudraient lire des nouvelles merdes de l'époque... Des inédits en gros.

Je vais peut-être recommencer à écrire.
Les gilets jaunes en France m'inspirent.
Pas ceux de Begique pcq c'est qu'une bande de gueux prolo qui sont au CPAS.
Donc je dis : PADAMALGAM

Ce qui m'aiderait à écrire, ce serait une muse qui me souffle dans mon stylo plume sous mon bureau donc s'il y a une autre petite jeune sur Bruxelles.
Oui... une autre, pcq la première en a eu marre... faut dire, je ne le lave pas souvent...

Bisous et bonne année.

Loli

Merci Google 2


"quelqun qui fait caca"

"je mis mon penis dans ton anus poeme "

"je veux publier un poeme d'amour au journal a marseille comment faire "

"intime d'une soumise"

"laideur juif"

"soumise loli sperme"

"vagin trouloulou"

"journal intime enfant sodomisé"

"faute de français courrirait"

"porque michael jackson est mort"

"journal intime d'un malade" (ça me fait plaisir que google me référence comme ça)

"télé réalité avale sperme"

"personne faisant caca"

"image de quelqu'un qui fais caca sur les fesse de l'autres"

Les feuilles mortes

Gabrielle avançait vers la lumière, les feuilles mortes foulées par ses bottines en fourrure noire craquaient délicatement.
On était en plein automne, le froid était vif et agressait ses joues toutes rouges qui dépassaient de son capuchon. Le vent, léger mais glacial, allait à sa rencontre comme pour lui dire de ne pas avancer dans cette direction, de rebrousser chemin et de s'en aller loin avant que tout lui remonte à la surface mais cette lumière plongée dans l'obscurité de la nuit, cette lumière écartant les arbres de la forêt l'appelait, irrésistible, comme un oasis en plein désert.
Les arbres étaient nus, lugubres comme pour l'effrayer mais rien y fait, elle continuait à avancer vers la lumière chaleureuse au milieu du bois.
- Bonsoir Gaby.
Le partenaire de Gabrielle était déjà sur place avec 2 autres policiers, le médecin légiste qu'on avait fait sortir de son lit et le promeneur qui avait trouver le corps.
- Lugubre n'est-ce pas? J'veux dire, la forêt, elle me fout les chocottes... et ce cadavre en plus...
Gabrielle n'avait pas encore desserrée les dents mais ce n'était pas dû au froid, elle regardait fixement le corps sans vie. Un petit garçon d'une dizaine d'années allongé face contre terre. Le sang coulait de sa chevelure blonde, coulait de l'arrière de sa tête pour se mêler aux feuilles orangées et rouges.

Les aventures d'Hiro Shima

- Papa, non, s'il te plait...
- Ne t'en fais pas Hiro, cela devait arriver, tu es un beau jeune homme, bien formé, tu as toutes les qualités pour réaliser notre rêve.
- Mais papa, je n'y arriverai pas sans toi !
- Continue, Hiro, tu es le seul à pouvoir sauver la planète...
- Papa...

Le père d'Hiro venait de s'éteindre en ce début de semaine en plein novembre, la brume entourait la maison de la famille Shima, il n'y avait aucun bruit dans le village comme si les oiseaux, les chèvres, les poules, les ivrognes, la nature elle même faisait une minute de silence en l'honneur de leur ami disparu.
Hiro, lui, était à genoux à côté du lit où reposait son père, la tête plongé dans les draps mouillés... par les larmes d'Hiro...(con va!)
Fuku s'était éteint dignement, avec honneur, dans la plus pure tradition japonaise.

Cela faisait 7 mois qu'il faisait une grève de la faim. En effet, les prix des denrées essentielles ayant explosés, la famille Shima n'avait plus assez d'argent pour s'acheter de la nourriture et du papier cul.
Pour que son fils puisse continuer son entrainement, un entrainement dur et épuisant, Fuku s'était privé d'aliments pour que l'argent qu'il lui restait aille dans l'entrainement intensif de son fils.
Le grand Tournoi du Perfect Of The World allait débuter d'ici quelques mois et son fils devait encore perfectionner sa technique.

Inspecteur Barnabite

Tout avait commencé un lundi soir, il faisait noir, il ne restait plus qu'une demi heure avant que l'inspecteur Barnabite finisse son service. Il matait des vidéos pornos en se demandant pourquoi sa femme ressemblait plus aux macabés qu'il avait l'occasion de voir pendant son service qu'aux actrices cochonnes dont le seul regard de chaudasse lui faisait exploser les boutons de son calbute alors qu'avec sa femme, il devait utiliser du viagra.

Au moment où il se leva pour allez évacuer le trop plein d'excitation, le téléphone sonna. Un voisin s'inquiétait  que Madame Tepu ne se soit pas montré depuis plusieurs jours. Barnabite n'en avait strictement rien à foutre alors il envoya son second faire le bouleau de con. Jean-Charles-Edouard Rouste ne fut pas content sur le moment mais en arrivant sur place, eu le plaisir de défoncer la porte à coup de pied, il était fier de ses nouvelles godasses. Pas des godasses de tarlouze, non, de belles santiags faites à base de peau d'alligator.
Mais il fut encore plus ravi en voyant la paire de loche de la femme morte qui était étendue au milieu de son salon. Madame Tepu, 34 ans, 90 D, une vraie bête de concours. Digne des meilleurs pornos de la collection de Barnabite, se dit le lieutenant Rouste.
Le voisin s'évanoui en voyant la morte. Jean-Charles-Edouard se dit que c'était l'occasion rêvé pour prendre quelques photos. Il serait enfin en odeur de sainteté de l'inspecteur Barnabite, si vous me pardonnez l'expression.