vendredi 10 juin 2011

Nouvelle - Un régime miracle

Une amie m'avait dit qu'elle voulait faire un régime. Elle était noire comme du charbon, elle ne l'est plus, elle s'est fait rouler dessus une nuit par un chauffard ivre. "Pas vu la dame" qu'il a dit à la police. Pas faux, il faisait nuit.

Je ne comprenais pas pourquoi elle voulait faire un régime. Certes un peu enveloppée et pas à mon goût, beaucoup de noirs se la seraient pourtant faites dans une cave sans problème.
Mais au delà du fait qu'elle n'avait pas réellement besoin de maigrir, n'était-ce pas un immonde doigt d'honneur fait à ses confrères d'Afrique qui n'ont même pas assez de force pour se bouffer entre-eux? Crevant la bouche ouverte, dans la poussière. De la merde serait un fabuleux festin pour eux.
N'empêche qu'en la quittant, je me suis dit "pourquoi n'en ferais-je pas un? Après tout, je suis assis toute la journée à bosser et j'ai un peu grossis".

Ce n’est pas que j’étais gros mais je me suis dit que ce serait bandant de perdre du poids tout en sachant que les vrais gros, eux, n'y arrivent pas. Ils ont comme tare, en plus de transpirer sans cesse, de ne pas avoir de maîtrise sur eux-mêmes, aucune force, aucune fierté.
Ces infâmes gobeurs de graisse me font gerber. Aucune recherche d'esthétique, aucune capacité à diriger leur vie, aucune ambition.

J'avais un plan infaillible pour maigrir. J'allais me faire crever de faim et pas de n’importe quelle manière. Non, de la plus belle des manières.
J'avais embauché 2 putes pour s'habiller en nazi et m'attacher à un radiateur dans ma maison. Elles avaient comme devoir de me fouetter à longueur de journée, de me torturer sexuellement, de me griffer, fesser, sucer, de m'obliger à les baiser sans m'arrêter, mais jamais au grand jamais me nourrir. Ou alors me nourrir en me jetant des restes comme à un chien, juste des restes.
J’avais vu pleins de reportages sur les camps Allemand et visiblement, leurs méthodes d’amaigrissement étaient du tonnerre.
Je n'avais pas pensé qu'une fois attaché au radiateur, elles allaient me tabasser jusqu'à ce que je crache des glaires de sang et qu'elles puissent partir avec mon fric en me laissant, en caleçon, comme un con dans mon appart à moitié mort.
Je ne sais combien te temps je suis resté assommé mais il a fallut plusieurs jours avant qu'un enculé m'entende gueuler et vienne voir ce qui se passait. Cet enculé, c'était mon concierge, un barge. Le mec était gros, chauve et portait la moustache. Il devait toujours remettre en place son froc qui tombait. Non pas qu'il faisait aussi un régime mais tous simplement parce que l'élastique s'était pété à l'usure.
Ce mec est entré, m'a vu attaché et n'a rien trouvé de mieux à faire que de m'enfoncer la loque avec laquelle il nettoyait les sols dans la bouche pour m'empêcher de crier. Il a déchiré mon caleçon, baissé son froc et sodomisé.
Ca a duré plus d'une semaine, ce mec était un malade. De temps en temps il venait avec son chien, « mégot », une saloperie de bichon. Il le sodomisait devant moi. Le chien avait beau chialer, s'il faisait trop de bruit, son maître le tabassait.

Il avait ramené des anciens sous-vêtements de sa femme, une grosse elle aussi, que je n’avais plus vu depuis des mois.
Ses bas étaient trop grands pour moi, je flottais dedans et son bonnet F de grosse ne m’allait pas. Le mec, ça l’excitait visiblement. Il m’avait maquillé comme une pute, rouge à lèvre et mascara, il m’en avait foutu pleins dans les yeux. Il m’avait fait aussi un piercing dégueu au téton droit.

Un jour que ce gros porc s’amusait à me lécher les couilles et à me sucer, je coinçai sa tête entre mes cuisses et essayai de l’étouffer avec ma bite, il me la mordit jusqu’au sang l’enculé.
Résultat, en gesticulant dans tous les sens, je fini par lui briser la nuque.
Il tombât au sol comme une merde tout en bavant. J’avais mal à la bite.


Il me fallut au moins une journée pour attraper les clés des menottes et me les enlever. J’étais enfin libre, je pleurais à en faire dégouliner mon maquillage.
En sortant dans la rue tout en remontant mes bas qui tombaient, je vis un ancien camarade de classe qui passait par là, il s’appelait Shlomi, ce mec était un juif trisomique qui s’était fait dégager de mon école après avoir voulu se battre avec un arbre. Il avait perdu et s’était éclater le crâne contre le coin d’un banc. Un pur handic.
Quand il me vit, il me sauta dessus, et commença à me tabasser, je n’ai pas compris sur le coup.
Plus tard il me fit un procès pour plagiat, visiblement, il se baladait souvent en sous-vêtement de femme dans les rues.

La police est arrivée assez vite grâce à l’appel des voisins.
Shlomi avait déjà un mandat d’arrêt contre sa gueule, il s’était trimballé à moitié à poil dans un jardin d’enfant en Israël et avait craché son immense foutre sur la tête d’un bambin. Les autorités Belges ont tous de suite acceptées de l’extrader. Il fut pendu selon les préceptes religieux juifs, qu’on m’a dit… En gros ils l’ont pendu.

Moi, la police a d’abord cru que j’étais un complice de Shlomi alors bien entendu, ils m’ont tabassé au poste de police. Je les comprends, je ne peux pas leurs en vouloir.

Après avoir tout expliqué, la police fit son enquête. Les 2 putes avaient disparue, le concierge était mort. On a retrouvé le corps de sa femme dans sa piaule, visiblement, il lui avait écrasé la tronche sur le rebord du lavabo un soir et avait décidé de conserver le corps. Il l’aimait et lui faisait l’amour tous les jours, malgré la dégradation physique (déjà commencé de son vivant), malgré la puanteur de la décomposition, malgré les mouches qui lui tournaient autour, il lui avait fait l’amour encore et encore.
Le chien fut piqué.
Au final, je ne m’en suis pas trop mal sortie, mis à part les 25 points de sutures sur ma verge, l’infection du téton droit qui m’a valu son amputation à cause du piercing et l’hémorragie anale. Je suis vivant et j’ai perdu 15 kilos.