dimanche 24 juillet 2011

Amy Winehouse meurt en Norvège

L'ensemble de la rédaction de ce blog, c'est-à-dire moi vu que je n'ai pas d'ami, est au regret de vous apprendre la mort d'Amy (elle voulait pas être la mienne, pute, va !)Winehouse.
Comme vous le savez, Amy avait de nombreux problèmes d'alcool et de drogue.
Il y a quelques jours, Amy était tellement imbibée d'alcool que quand elle a allumé sa cigarette, une explosion se produisit.
Elle était en Norvège à ce moment là. Vous comprendrez bien entendu qu'il ne s'agissait pas d'un attentat terroriste comme les médias le racontent pour le moment.
Donc voila, c'était pas un acte terroriste mais par contre après l'explosion, un fan d'amy whinehouse a pété les plombs parce qu'il était trop triste alors il a tiré sur des jeunes pour évacuer sa tristesse et ça, je pense qu'on peut comprendre.
R.I.P. Winehouse, tu manqueras à l'industrie de l'alcool mais pas à l'industrie du disque ni à moi parce qu'en réalité j'en ai rien à foutre.

samedi 9 juillet 2011

Ma vie est tellement belle

Je sais qu'en voyant ce titre, vous vous dites : "merde, même lui a une belle vie... et dire que je venais lire les délires de cet alcoolique dépressif pour pouvoir me sentir mieux que quelqu'un sur cette terre"
Et bien c'est fini, je me drogue, donc maintenant tout ira bien pour moi, pour toujours.
J'adore la sensation de la seringue qui s'enfonce dans mon bras même si entre les doigts de pieds est assez rafraîchissant.
A ce qui parait, on a des veines dans le cul, je vais allez me piquer le trouloulou ou alors directement dans les couilles. A ce qui parait c'est plus bandant qu'une grosse qui vous les gobent.
Je vais rester enfermé dans ma tête tout seul avec mes rêves.
Paradoxalement, je vais être libre en m'enfermant dans ma tête, je vais être heureux parce que dans mes rêves je peux tout faire. Te tuer, faire l'amour à ta mère, m'auto-sucer, on n'est jamais mieux servi que par soi-même.
Je suis heureux quand je suis seul.

lundi 4 juillet 2011

Nouvelle - Un chasseur sachant chasser

Je marchais dans les bois avec Boris, un russe ou un truc du genre. Il venait de l’est mais d’où exactement, qu’est-ce qu’on s’en fout. il était garde forestier. D’habitude les gens des pays de l’est sont soit dans le bâtiment, soit dans la nature. Mais dans le sens « recherché par la police ». Lui il était juste dans la nature comme gardien. En gros, un branleur. Il foutait rien à part se balader dans les bois.
En tout cas, comme tous les gens de l’est, il était bourré quasi tout le temps, sur ce coup là, il faisait honneur à ses origines.
Je ne lui parlais quasi jamais, je n’aimais pas ce type, il avait un gros bide à bière et avait tendance à vomir devant le café de la station service au bord de l’autoroute. Faut dire, le café y était dégueu.

On s’était croisé au café, il discutait avec la grosse bertha, elle déteste qu’on l’appelle comme ça. C’était la seule femme des environs et avait une sacrée paire de loche. Elle faisait des bonnes crêpes. Il m’avait demandé si je voulais l’accompagner pour tuer du loup, ça ne me tentais pas alors il avait commencé à me chambrer. Mauvaise idée, je n’étais pas d’humeur. « Petite bite, t’es pas un homme, t’as peur d’un animal ? Haha ». J’avais dit oui pour lui montrer qui je suis, que je n’avais pas peur des animaux.

Boris marchait en zigzag avec sa carabine qui raclait le sol. Il s’arrêta pour se gratter le pubis. Il avait du coucher avec Bertha juste avant. En plus de servir un café immonde, elle faisait pute pour les routiers et les gars du coin. Comme l’autoroute, tout le monde lui passait dessus. Elle ne coûtait pas chère mais il y avait autant d’hygiène dans sa culotte que dans sa cuisine, une véritable saloperie. Sa bouffe filait la chiasse et sa foune filait des morpions à tous ceux qui lui raclaient ce qui lui restait de vagin.
Pas de doute Boris s’était payé du bon temps avant de venir chasser le loup.
Ca me foutait la gerbe de penser qu’il avait balancé son foutre dans ma grosse Bertha. Comme je l’ai dit, tout le monde lui passait dessus, moi y compris.

Bref, Boris ouvrit une bouteille de vodka (Pays(an) de l’Est oblige) et s’enfila une bonne lampée, il ne pouvait pas se passer de sa foutue gnôle.
Il ne m’en proposa même pas mais je n’étais pas triste, je connaissais bien la bête, une raclure de la société qui se croit au dessus des autres. Comme tout le monde.
Il s’arrêta de boire quand il vit ce magnifique loup au pelage gris, il n’avait pas menti, il y avait bien du loup dans les parages.
Les paysans du coin étaient fâchés parce qu’un loup tuaient LEURS moutons. Moutons qui à la base étaient des animaux comme nous et comme le loup et puis un jour l’Homme a dit : "ces moutons sont à moi, je mets des barbelés autour et j’encule la chaîne alimentaire. Les autres carnivores, vous pouvez vous lécher les couilles, vous n’aurez plus rien."
Que devaient faire les loups ? Se laisser crever de faim parce qu’un autre animal, l’homme, avait invité « la propriété ». Concept que les loups ne connaissaient pas. Par contre ils connaissaient bien les fusils, dès qu’il vu que Boris l’avait vu, il se cassa au loin.
Boris tira comme une merde. Si les paysans du coin comptaient sur lui pour se débarrasser du loup, ils pouvaient tous aller se lécher les couilles.
Boris dit : « Hé merde, encore raté, tu foutais quoi toi, enculé ? »
Moi j’avais sortit mon couteau et je m’étais mit derrière lui, je mis ma main sur sa bouche et avec l’autre main, je lui enfonçai mon couteau dans la gorge.

Les Hommes se croient supérieurs aux autres animaux alors qu’on est en dessous d’eux. Ils sont libres, EUX. Pas emmerdé par toutes ces conventions sociales, cette société, ces codes.
Pas obligé d’avoir des relations sociales, d’offrir des cadeaux, d’écouter les larmoiements des faibles. Non, ils se reniflent, s’enculent et puis font leur vie. Ils sont à poil et chient quand ils en ont envie. Ils ne font pas semblant, ils sont eux-mêmes. Aucun désir matériel à la con, aucun patron débile qui se croit supérieur. Les animaux ne sont pas esclaves.

Boris était en train de suffoquer dans son sang, ça faisait un bruit dégueulasse, comme un cochon qui baise. Je ne voulais pas qu’il meure comme ça. Je lui ai enlevé son froque et enfoncé sa carabine dans le trou de balle, ce n’est pas passé facilement mais en tapant avec mon pied, s’est rentré. A ce moment la j’ai fait des allés et retour dans son trou du cul avec la carabine pendant qu’il crevait lentement. Pas assez lentement malheureusement. J’ai bien vu qu’il allait lâcher mais je ne voulais pas qu’il meure égorgé alors j’ai enfoncé une dernière fois la carabine jusqu’à ce qu’on la voit faire une bosse sur son ventre et la j’ai tiré.
Ca a fait un énorme trou dans son bide et projeté de la viande 10 mètres plus loin.
La carabine était pleine de merde et de sang, Boris était mort. Je ne l’avais jamais aimé. Il aurait pas du se croire supérieur aux animaux. Il n’aurait pas du se croire supérieur à moi.