mercredi 14 décembre 2011

Drame à Liège... ils sont wallons

Salut à tous et à toutes, surtout à toutes. Comment allez-vous? Non ne répondez pas, j'en ai rien à foutre.
Vous avez peut-être remarqué qu'à Liège, des feux d'artifice ont été tiré hier, le 13 décembre 2011 pour célébrer la victoire du PS wallon.
J'ai remarqué que beaucoup de glands écrivaient sur ce sujet et faisaient le "buzz" sur face de bouc et étant donné que j'ai besoin de visite pour vivre... (Non je déconne je touche rien à part ma bite pour cette saloperie de blog...) je me suis dit que je devrais écrire un article sur le sujet.
Comment faire le buzz sur le sujet, il y avait 2 options faciles qui malheureusement ont déjà été faites et refaites (comme ta maman).
Le choix du bon gros racisme bien gras : IL S'AGIT D'UN ARABE.
Le choix du naïf qui vote laxiste socialiste : non mais faut comprendre, le pauvre, c'est la faute de la société s'il a fait ça. (Remarquez que l'argument de la faute de la société ne tient pas étant donné qu'on vit tous dans cette société et qu'on devrait alors tous aboutir à des carnages (à la limite si les victimes étaient des roux ça donnerait des roucarnages (jeux de mot pour les fans de pokémon))
Bref, je n'ai plus trop de choix, comment faire le buzz sur cet évènement? Les choix les plus faciles ont déjà été pris :'(
Donc voici ce que j'ai à dire sur le sujet :
J'aimerais bien lécher le trou de balle des victimes (oui mais lequel? hihihi kikoo lol), les sodomiser avec ma bite que je n'ai plus lavé depuis une semaine et puis embrasser Elio Di Rupo avec encore un peu de merde sur le coin de ma bouche.
J'espère que cet article fera le buzz pcq c'est trop cool de donner son avis sur ce genre de sujet.
Finalement le véritable drame n'est-il pas qu'ils sont wallons?

Et pour finir, voici la réaction de Bart De Wever : "Les Wallons vont encore demander de l'argent pour les fêtes de nouvel an alors qu'ils utilisent déjà les feux d'artifice maintenant à Liège"

mardi 30 août 2011

Nouvelle - L’employé du mois

La journée avait mal commencé, mon réveil n’avait pas eu l’effet voulu.
Saloperie de daube bon marché, soit ça vous bousille les tympans, soit ça ne va pas assez fort.
Tout ça pour dire que j’avais du courir pour ne pas arriver trop en retard au taf.
Arrivé dégoulinant de sueur avec une forte envie de déféquer, c’est ce que j’appelle mal commencer sa journée.
En montant les marches des escaliers 2 par 2, j’avais serré les fesses juste à temps et évité que ma crotte ne sorte.
Courrant vers les gogues, je me disais que j’étais sauvé mais c’était sans compter sans ce couillon de John, mon boss.
- Zander ! Je te cherchais justement. Me dit-il en souriant
- Désolé John mais j’ai quelque chose à faire là tout de suite.
- Ne t’en fait pas, viens je te dis ! Réunion spéciale, j’ai une annonce à faire, tout le monde t’attend.

Et me voila maintenant dans la salle de réunion devant tous mes collègues qui me regardent.
S’ils savaient que j’ai mangé un chili con carne hier soir et qu’il va ressortir maintenant, ils souriraient moins.
Je sens ma crotte qui dépasse, il faut que je fasse quelque chose et vite !
Je sue du cul, je sue de partout, mon front dégouline, je suis tout rouge.
Saloperie de cravate qui accentue la chaleur. Qui est l’enfoiré qui a inventé cet instrument de torture ? Un putain de pervers qui voulait qu’on ait tous une bite sous notre menton ! Ce mec, il fallait le pendre par les burnes avec son invention du diable, voila ce qu’on aurait du faire, ou alors non, ce qu’on devrait faire c’est s’attacher les couilles avec, ça aurait de la gueule, plus de pantalon, plus jamais, juste une cravate aux jumeaux, la classe. Faudrait juste faire attention au moment de descendre d’un taxi ou d’un train. Si la portière se referme sur la cravate, on est mort.
Nom de Dieu, faut que je me concentre pour tout retenir, j’en peux plus, ça va sortir et ces cons qui me regardent avec un sourire.
Bravo pour ta promotion Zander, tu la mérite.
Je leur dis :
- Bien entendu que je mérite une promotion, vous êtes des dégénérés du bulbe. Je suis le seul qui fait un bon travail dans ce cabinet minable.
Là, bizarrement, ils changent d’expression de mou du gland à surpris voir fâché.

JE DOIS CHIER !!! Personne ne le sait, ils me regardent tous, ils voient qu’il y a un truc qui cloche.
Je me lève en espérant que ça fasse rentrer ma crotte. MIRACLE. Ca me soulage l’anus mais je sens que mon ventre va exploser. Il me dit – putain tu fais quoi ? Tu remontes la merde ? On est déjà complet ici, arrête ça !
Mais qu’il est con ce ventre, je peux pas me chier dessus, j’aime mon caleçon.

Que se passe-t-il ? Me demande John, ce salopard qui m’a empêché de couler mon bronze 10 minutes plus tôt pour me filer une promotion, il ne pouvait pas attendre ?
Je lui dit : « Je suis le meilleur employé de ce cabinet de trisomique. »
Je m’arrête pour retenir un pet qui m’aurait réchauffé l’anus ainsi que toute la pièce. Ce pet, j’en suis sur, aurait même pu faire augmenter la chaleur de l’ensemble de la planète, ça aurait détruit la couche d’ozone à coup sur. C’est les écolos qui n’auraient pas été content. A coup sur, ces couillons auraient voulu faucher mon champ de poils de cul comme un vulgaire champ d’OGM.
Je pense aux trisomiques, je pense à mes collègues, je les vois en train de baver et de dire : t’es mon amiiiiiiiiiieeeeehééééé.
Je m’imagine en train de foutre ma bite dans le cul d’un trisomique. Il commence à crier au 7ème coup de queue parce qu’il faut le temps que ça lui arrive au cerveau. Nooooooon, pas cul, pas cul, maaaaaaaaaal. Qu’est ce qu’il est con. Bizarrement, il me fait penser à ma femme, il parle comme elle.

Je reprends mes esprits, la douleur est tellement grande que j’en ai plus rien à foutre de perdre mon job, il faut que j’en finisse :
- Je devrais être content d’avoir une promotion qui m’ajoute des responsabilités, des charges, du travail ? Vous vous foutez de ma gueule ? John, j’accepte l’argent mais je refuse d’être chef de ces demeurés ! Je suis pas un abruti qui accepte plus de travail parce que son ego est tellement démesuré qu’il suffit de lui dire qu’il s’agit d’une ‘‘promotion’’ pour qu’il accepte ! Tu m’as prit pour un CON !!!
John se lève aussi, il me dit de me calmer, tout le monde me regarde.
- Non, je ne me calme pas, tu me files le fric mais le titre de chef de service et tout le travail qui va avec, tu te le fourre au cul ou tu le donne à un de ces gigolos mais pas à moi.

Je sors de la pièce, j’ai mal au cul, je fonce dans les chiottes mais je me dis que ce serait dommage si je ne faisais rien de cette météorite qui va sortir de mon trou du cul sidéral.
Je sors des chiottes avec mon froc sur les chevilles, grimpe sur le bureau de John péniblement et fous la photo de famille de John juste en dessous de mon trou de balle.
Je n’ai même pas besoin de pousser, ça ne me fait pas mal, ça sort à une vitesse supersonique et ça s’écrase sur le bois. Je sens un bien-être qui m’envahi instantanément.
Qu’aucune femme ne me dise plus jamais « vous les hommes vous ne savez pas ce que c’est que d’accoucher.»
Je viens de chier un beau bébé d’au moins 5 kilos sur la table de mon patron alors je crois savoir ce que ça fait !!!
John hurle, les autres regardent la bouche ouverte, j’ai une mini érection.
- Zander !!! qu’est-ce que tu fou sale con ? T’es viré, barre toi d’ici !!!
- Faut vraiment être trop con pour virer son « employé du mois » John, t’es qu’une grosse merde comme celle que je viens de couler sur la photo de tes enfants.

dimanche 24 juillet 2011

Amy Winehouse meurt en Norvège

L'ensemble de la rédaction de ce blog, c'est-à-dire moi vu que je n'ai pas d'ami, est au regret de vous apprendre la mort d'Amy (elle voulait pas être la mienne, pute, va !)Winehouse.
Comme vous le savez, Amy avait de nombreux problèmes d'alcool et de drogue.
Il y a quelques jours, Amy était tellement imbibée d'alcool que quand elle a allumé sa cigarette, une explosion se produisit.
Elle était en Norvège à ce moment là. Vous comprendrez bien entendu qu'il ne s'agissait pas d'un attentat terroriste comme les médias le racontent pour le moment.
Donc voila, c'était pas un acte terroriste mais par contre après l'explosion, un fan d'amy whinehouse a pété les plombs parce qu'il était trop triste alors il a tiré sur des jeunes pour évacuer sa tristesse et ça, je pense qu'on peut comprendre.
R.I.P. Winehouse, tu manqueras à l'industrie de l'alcool mais pas à l'industrie du disque ni à moi parce qu'en réalité j'en ai rien à foutre.

samedi 9 juillet 2011

Ma vie est tellement belle

Je sais qu'en voyant ce titre, vous vous dites : "merde, même lui a une belle vie... et dire que je venais lire les délires de cet alcoolique dépressif pour pouvoir me sentir mieux que quelqu'un sur cette terre"
Et bien c'est fini, je me drogue, donc maintenant tout ira bien pour moi, pour toujours.
J'adore la sensation de la seringue qui s'enfonce dans mon bras même si entre les doigts de pieds est assez rafraîchissant.
A ce qui parait, on a des veines dans le cul, je vais allez me piquer le trouloulou ou alors directement dans les couilles. A ce qui parait c'est plus bandant qu'une grosse qui vous les gobent.
Je vais rester enfermé dans ma tête tout seul avec mes rêves.
Paradoxalement, je vais être libre en m'enfermant dans ma tête, je vais être heureux parce que dans mes rêves je peux tout faire. Te tuer, faire l'amour à ta mère, m'auto-sucer, on n'est jamais mieux servi que par soi-même.
Je suis heureux quand je suis seul.

lundi 4 juillet 2011

Nouvelle - Un chasseur sachant chasser

Je marchais dans les bois avec Boris, un russe ou un truc du genre. Il venait de l’est mais d’où exactement, qu’est-ce qu’on s’en fout. il était garde forestier. D’habitude les gens des pays de l’est sont soit dans le bâtiment, soit dans la nature. Mais dans le sens « recherché par la police ». Lui il était juste dans la nature comme gardien. En gros, un branleur. Il foutait rien à part se balader dans les bois.
En tout cas, comme tous les gens de l’est, il était bourré quasi tout le temps, sur ce coup là, il faisait honneur à ses origines.
Je ne lui parlais quasi jamais, je n’aimais pas ce type, il avait un gros bide à bière et avait tendance à vomir devant le café de la station service au bord de l’autoroute. Faut dire, le café y était dégueu.

On s’était croisé au café, il discutait avec la grosse bertha, elle déteste qu’on l’appelle comme ça. C’était la seule femme des environs et avait une sacrée paire de loche. Elle faisait des bonnes crêpes. Il m’avait demandé si je voulais l’accompagner pour tuer du loup, ça ne me tentais pas alors il avait commencé à me chambrer. Mauvaise idée, je n’étais pas d’humeur. « Petite bite, t’es pas un homme, t’as peur d’un animal ? Haha ». J’avais dit oui pour lui montrer qui je suis, que je n’avais pas peur des animaux.

Boris marchait en zigzag avec sa carabine qui raclait le sol. Il s’arrêta pour se gratter le pubis. Il avait du coucher avec Bertha juste avant. En plus de servir un café immonde, elle faisait pute pour les routiers et les gars du coin. Comme l’autoroute, tout le monde lui passait dessus. Elle ne coûtait pas chère mais il y avait autant d’hygiène dans sa culotte que dans sa cuisine, une véritable saloperie. Sa bouffe filait la chiasse et sa foune filait des morpions à tous ceux qui lui raclaient ce qui lui restait de vagin.
Pas de doute Boris s’était payé du bon temps avant de venir chasser le loup.
Ca me foutait la gerbe de penser qu’il avait balancé son foutre dans ma grosse Bertha. Comme je l’ai dit, tout le monde lui passait dessus, moi y compris.

Bref, Boris ouvrit une bouteille de vodka (Pays(an) de l’Est oblige) et s’enfila une bonne lampée, il ne pouvait pas se passer de sa foutue gnôle.
Il ne m’en proposa même pas mais je n’étais pas triste, je connaissais bien la bête, une raclure de la société qui se croit au dessus des autres. Comme tout le monde.
Il s’arrêta de boire quand il vit ce magnifique loup au pelage gris, il n’avait pas menti, il y avait bien du loup dans les parages.
Les paysans du coin étaient fâchés parce qu’un loup tuaient LEURS moutons. Moutons qui à la base étaient des animaux comme nous et comme le loup et puis un jour l’Homme a dit : "ces moutons sont à moi, je mets des barbelés autour et j’encule la chaîne alimentaire. Les autres carnivores, vous pouvez vous lécher les couilles, vous n’aurez plus rien."
Que devaient faire les loups ? Se laisser crever de faim parce qu’un autre animal, l’homme, avait invité « la propriété ». Concept que les loups ne connaissaient pas. Par contre ils connaissaient bien les fusils, dès qu’il vu que Boris l’avait vu, il se cassa au loin.
Boris tira comme une merde. Si les paysans du coin comptaient sur lui pour se débarrasser du loup, ils pouvaient tous aller se lécher les couilles.
Boris dit : « Hé merde, encore raté, tu foutais quoi toi, enculé ? »
Moi j’avais sortit mon couteau et je m’étais mit derrière lui, je mis ma main sur sa bouche et avec l’autre main, je lui enfonçai mon couteau dans la gorge.

Les Hommes se croient supérieurs aux autres animaux alors qu’on est en dessous d’eux. Ils sont libres, EUX. Pas emmerdé par toutes ces conventions sociales, cette société, ces codes.
Pas obligé d’avoir des relations sociales, d’offrir des cadeaux, d’écouter les larmoiements des faibles. Non, ils se reniflent, s’enculent et puis font leur vie. Ils sont à poil et chient quand ils en ont envie. Ils ne font pas semblant, ils sont eux-mêmes. Aucun désir matériel à la con, aucun patron débile qui se croit supérieur. Les animaux ne sont pas esclaves.

Boris était en train de suffoquer dans son sang, ça faisait un bruit dégueulasse, comme un cochon qui baise. Je ne voulais pas qu’il meure comme ça. Je lui ai enlevé son froque et enfoncé sa carabine dans le trou de balle, ce n’est pas passé facilement mais en tapant avec mon pied, s’est rentré. A ce moment la j’ai fait des allés et retour dans son trou du cul avec la carabine pendant qu’il crevait lentement. Pas assez lentement malheureusement. J’ai bien vu qu’il allait lâcher mais je ne voulais pas qu’il meure égorgé alors j’ai enfoncé une dernière fois la carabine jusqu’à ce qu’on la voit faire une bosse sur son ventre et la j’ai tiré.
Ca a fait un énorme trou dans son bide et projeté de la viande 10 mètres plus loin.
La carabine était pleine de merde et de sang, Boris était mort. Je ne l’avais jamais aimé. Il aurait pas du se croire supérieur aux animaux. Il n’aurait pas du se croire supérieur à moi.

vendredi 10 juin 2011

Nouvelle - Un régime miracle

Une amie m'avait dit qu'elle voulait faire un régime. Elle était noire comme du charbon, elle ne l'est plus, elle s'est fait rouler dessus une nuit par un chauffard ivre. "Pas vu la dame" qu'il a dit à la police. Pas faux, il faisait nuit.

Je ne comprenais pas pourquoi elle voulait faire un régime. Certes un peu enveloppée et pas à mon goût, beaucoup de noirs se la seraient pourtant faites dans une cave sans problème.
Mais au delà du fait qu'elle n'avait pas réellement besoin de maigrir, n'était-ce pas un immonde doigt d'honneur fait à ses confrères d'Afrique qui n'ont même pas assez de force pour se bouffer entre-eux? Crevant la bouche ouverte, dans la poussière. De la merde serait un fabuleux festin pour eux.
N'empêche qu'en la quittant, je me suis dit "pourquoi n'en ferais-je pas un? Après tout, je suis assis toute la journée à bosser et j'ai un peu grossis".

Ce n’est pas que j’étais gros mais je me suis dit que ce serait bandant de perdre du poids tout en sachant que les vrais gros, eux, n'y arrivent pas. Ils ont comme tare, en plus de transpirer sans cesse, de ne pas avoir de maîtrise sur eux-mêmes, aucune force, aucune fierté.
Ces infâmes gobeurs de graisse me font gerber. Aucune recherche d'esthétique, aucune capacité à diriger leur vie, aucune ambition.

J'avais un plan infaillible pour maigrir. J'allais me faire crever de faim et pas de n’importe quelle manière. Non, de la plus belle des manières.
J'avais embauché 2 putes pour s'habiller en nazi et m'attacher à un radiateur dans ma maison. Elles avaient comme devoir de me fouetter à longueur de journée, de me torturer sexuellement, de me griffer, fesser, sucer, de m'obliger à les baiser sans m'arrêter, mais jamais au grand jamais me nourrir. Ou alors me nourrir en me jetant des restes comme à un chien, juste des restes.
J’avais vu pleins de reportages sur les camps Allemand et visiblement, leurs méthodes d’amaigrissement étaient du tonnerre.
Je n'avais pas pensé qu'une fois attaché au radiateur, elles allaient me tabasser jusqu'à ce que je crache des glaires de sang et qu'elles puissent partir avec mon fric en me laissant, en caleçon, comme un con dans mon appart à moitié mort.
Je ne sais combien te temps je suis resté assommé mais il a fallut plusieurs jours avant qu'un enculé m'entende gueuler et vienne voir ce qui se passait. Cet enculé, c'était mon concierge, un barge. Le mec était gros, chauve et portait la moustache. Il devait toujours remettre en place son froc qui tombait. Non pas qu'il faisait aussi un régime mais tous simplement parce que l'élastique s'était pété à l'usure.
Ce mec est entré, m'a vu attaché et n'a rien trouvé de mieux à faire que de m'enfoncer la loque avec laquelle il nettoyait les sols dans la bouche pour m'empêcher de crier. Il a déchiré mon caleçon, baissé son froc et sodomisé.
Ca a duré plus d'une semaine, ce mec était un malade. De temps en temps il venait avec son chien, « mégot », une saloperie de bichon. Il le sodomisait devant moi. Le chien avait beau chialer, s'il faisait trop de bruit, son maître le tabassait.

Il avait ramené des anciens sous-vêtements de sa femme, une grosse elle aussi, que je n’avais plus vu depuis des mois.
Ses bas étaient trop grands pour moi, je flottais dedans et son bonnet F de grosse ne m’allait pas. Le mec, ça l’excitait visiblement. Il m’avait maquillé comme une pute, rouge à lèvre et mascara, il m’en avait foutu pleins dans les yeux. Il m’avait fait aussi un piercing dégueu au téton droit.

Un jour que ce gros porc s’amusait à me lécher les couilles et à me sucer, je coinçai sa tête entre mes cuisses et essayai de l’étouffer avec ma bite, il me la mordit jusqu’au sang l’enculé.
Résultat, en gesticulant dans tous les sens, je fini par lui briser la nuque.
Il tombât au sol comme une merde tout en bavant. J’avais mal à la bite.


Il me fallut au moins une journée pour attraper les clés des menottes et me les enlever. J’étais enfin libre, je pleurais à en faire dégouliner mon maquillage.
En sortant dans la rue tout en remontant mes bas qui tombaient, je vis un ancien camarade de classe qui passait par là, il s’appelait Shlomi, ce mec était un juif trisomique qui s’était fait dégager de mon école après avoir voulu se battre avec un arbre. Il avait perdu et s’était éclater le crâne contre le coin d’un banc. Un pur handic.
Quand il me vit, il me sauta dessus, et commença à me tabasser, je n’ai pas compris sur le coup.
Plus tard il me fit un procès pour plagiat, visiblement, il se baladait souvent en sous-vêtement de femme dans les rues.

La police est arrivée assez vite grâce à l’appel des voisins.
Shlomi avait déjà un mandat d’arrêt contre sa gueule, il s’était trimballé à moitié à poil dans un jardin d’enfant en Israël et avait craché son immense foutre sur la tête d’un bambin. Les autorités Belges ont tous de suite acceptées de l’extrader. Il fut pendu selon les préceptes religieux juifs, qu’on m’a dit… En gros ils l’ont pendu.

Moi, la police a d’abord cru que j’étais un complice de Shlomi alors bien entendu, ils m’ont tabassé au poste de police. Je les comprends, je ne peux pas leurs en vouloir.

Après avoir tout expliqué, la police fit son enquête. Les 2 putes avaient disparue, le concierge était mort. On a retrouvé le corps de sa femme dans sa piaule, visiblement, il lui avait écrasé la tronche sur le rebord du lavabo un soir et avait décidé de conserver le corps. Il l’aimait et lui faisait l’amour tous les jours, malgré la dégradation physique (déjà commencé de son vivant), malgré la puanteur de la décomposition, malgré les mouches qui lui tournaient autour, il lui avait fait l’amour encore et encore.
Le chien fut piqué.
Au final, je ne m’en suis pas trop mal sortie, mis à part les 25 points de sutures sur ma verge, l’infection du téton droit qui m’a valu son amputation à cause du piercing et l’hémorragie anale. Je suis vivant et j’ai perdu 15 kilos.