- Mouai, Bonsoir, c'est Ardisson, alors crise économique oblige, il y aura des putes qu'une émission sur deux mouai, mouai. Pour ça que Baffie n'est pas là ce soir, une tragédie pcq sans lui je ne suis pas drôle, mouai mouai.
L'invité de ce soir : Clémentine Autin, GINGEL SERGE !!!!
- Applaudissement du public
- hahaha lol trop fort, bonsoir Clémentine
- On dit Madame, merde, tous des machos !!
- Mouai, mouai, ferme là. Alors clémentine Autin, vous avez un prénom de fruit, mouai...
- ...
- C'est un peu le seul truc intéressant chez vous.
- ...
- Mouai Mouai, alors, quand même, autre chose, quand même, mouai, vous racontez un évènement tragique dans votre vie, horrible, mouai, vous vous engagez au parti communiste et puis vous rejoignez ensuite la pédale à villo, mouai, elle est bonne cette blague, c'est baffie qui me l'a smsé hahaha
- euh... je ... qu'est-ce que...
- Ah pardon, j'ai inversé mes fiches "carrière" et "viol", mouai, donc l'évènement tragique, on l'aura compris, c'est votre viol, mouai.
- Salaud de macho de droite !
- Mouai, alors, question Ardicon, question Ardisson : Clémentine? mouai, est-ce que se faire violer c'est tromper?
- Macho
- Mouai, merci beaucoup, c'était Ardisson, la semaine prochaine, une émission plus intéressante avec Baffie et des putes. CIAO CIAO CIAO
vendredi 21 décembre 2012
lundi 10 décembre 2012
S'entendre comme chien et chat
dimanche 25 novembre 2012
Un rien vous va
Bonjour,
Je n'ai rien à dire en fait,
Donc je ne dis rien,
J'espère que ça ne vous dérange pas que je ne dise rien,
De toute façon je m'en fous, enfin... en fait, je n'en pense rien,
Je trouve que ce rien que je suis en train d'écrire est vraiment bien alors je vais le mettre sur mon site,
Au revoir
lundi 19 novembre 2012
Merci Google et merci à vous... enfin... je crois...
Aujourd'hui, ce n'est pas moi qui écrit cet article mais vous, oui, VOUS ! et c'est pas fameux...
Voici ce que vous avez écrit dans le moteur de recherche Google et qui vous a amené sur mon blog (vous êtes de grands malades) :
"Déféquer après avoir bouffé une choucroutte"
"Avaler le sperme"
"âne moche"
"La vie est tellement belle"
"Chiottes ULB"
"trous toilettes ulb"
"petite poésie idiote"
"Récit trash gros thon pute"
"poème d'amour idiot"
"autosucer"
"clochard moche"
"poem des jen qui non rien a foutre de toi"
"bashung faute français"
"je me suis vomi dessus"
"maman surpris nue sous nuisette"
"amy winehouse pete les plomb"
"drôles de déclarations d'amour"
Voici ce que vous avez écrit dans le moteur de recherche Google et qui vous a amené sur mon blog (vous êtes de grands malades) :
"Déféquer après avoir bouffé une choucroutte"
"Avaler le sperme"
"âne moche"
"La vie est tellement belle"
"Chiottes ULB"
"trous toilettes ulb"
"petite poésie idiote"
"Récit trash gros thon pute"
"poème d'amour idiot"
"autosucer"
"clochard moche"
"poem des jen qui non rien a foutre de toi"
"bashung faute français"
"je me suis vomi dessus"
"maman surpris nue sous nuisette"
"amy winehouse pete les plomb"
"drôles de déclarations d'amour"
mercredi 7 novembre 2012
Perte de l'innocence
Mes lèvres mouillées
Mouillent tes rêves brisés
Souillent ton innocence
Toi, fille sans défense
Ferme les yeux mon enfant
Perds tous tes sentiments
Tout seul, tu va rester
Tu peux tout oublier
Tes yeux sont mouillés
Rien pour les sécher
Ne dis rien mais pense
Ca occupe l'errance
Mes doigts qui te pénètrent
Brisent à jamais ton être
Pleures-tu? Je n'entends rien
Ta vie part de mes mains
Bonus 1 :
De la sueur sur mes boules
Du bonheur dans ta moule
Bonus 2 :
Clique ici
Bonus 3 :
Clique ici
Souillent ton innocence
Toi, fille sans défense
Ferme les yeux mon enfant
Perds tous tes sentiments
Tout seul, tu va rester
Tu peux tout oublier
Tes yeux sont mouillés
Rien pour les sécher
Ne dis rien mais pense
Ca occupe l'errance
Mes doigts qui te pénètrent
Brisent à jamais ton être
Pleures-tu? Je n'entends rien
Ta vie part de mes mains
Bonus 1 :
De la sueur sur mes boules
Du bonheur dans ta moule
Bonus 2 :
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vendredi 2 novembre 2012
lundi 15 octobre 2012
Poème - Au bout du rouleau
Un rouleau de papier
Trop longtemps délaissé
J'm'empresse de le souiller
Par mes selles parfumées
Debout devant mon crime
Mon papier s'est noyé
Maintenant je déprime
ADieu mon tendre aimé
mardi 2 octobre 2012
Poème - Déclaration d'amour
Je t'aime quand tu pleures
Si vous voulez voir des poèmes moins trash, allez sur ce site : http://fleursdeslimbes.wordpress.com/
Je t'aime quand tu meurs
Souffre, souffre, crie mon nom
J'éclate tes poumons
Tu le sens bien quand
Je te casse les dents
Mes pieds épousent ton
Visage de gros thon
La vie est plus drôle
Quand mes poings te frôlent
Craque encore pour moi
Ta nuque est si belle
Ta nuque est si frêle
Craque entre mes doigts
Souffre, souffre, crie mon nom
J'éclate tes poumons
Tu le sens bien quand
Je te casse les dents
Mes pieds épousent ton
Visage de gros thon
La vie est plus drôle
Quand mes poings te frôlent
Craque encore pour moi
Ta nuque est si belle
Ta nuque est si frêle
Craque entre mes doigts
Si vous voulez voir des poèmes moins trash, allez sur ce site : http://fleursdeslimbes.wordpress.com/
J'aime France Gall
mardi 11 septembre 2012
Voyage au bout de la nuisette... d'une fan
8h30, je suis à la gare du nord, lieu fréquenté par les
putes et leurs clients mais aussi par des navetteurs. Gens qui sont prêts à
payer pour baiser, gens qui sont prêts à payer pour être transporté comme des
veaux à leur travail. Qui sont les plus cons? Travailler pour payer le
transport pour travailler. Affaire de cocu, une de plus.
Moi j'y étais pour dégager. Cette ville de Bruxelles est à
l'image de ses habitants, sale, dégueulasse, souillée.
Partir de cette ville histoire d'un weekend end, changer d'environnement,
voir du monde... un autre monde.
Une petite lectrice de mes écrits répondant au doux nom de
Clara, assez dérangée pour les apprécier, m'avait contactée en me disant toutes
les conneries habituelles, me racontant sa vie pas intéressante pour un sous.
M'ennuyant énormément, je m'étais distrait en lui répondant. Elle habite Paris,
une autre ville dégueulasse.
Sa conversation n'était pas très intéressante mais pour une
fois qu'on ne m'insultait pas... De fil en aiguille, elle se livra de plus en
plus, m'envoyant des photos et des culottes avec son odeur suite à mes demandes
répétées. Une très belle fille, de quoi filer la trique à un âne mort.
Une belle crinière blonde, mince, pas grassouillette, de
jolis yeux bleus.
Mais de nos jours, avec l'informatique et tous ces
programmes à la con, on peut vite trafiquer les photos. Je décidai donc de la
voir en vrai. Au pire, si elle me faisait un faux plan, je me serais retrouvé
seul à paris pour 2 jours.
Elle habitait encore chez ses parents, deux bons vieux
pépères et mémères en peignoirs et pantoufles. Autant les pantoufles j'adore,
c'est confortable, doux et chaud. Une sorte de vagin pour les pieds. Autant un
peignoir, ça gratte et ça sert.
Ils avaient accepté que je passe la nuit chez eux sans me connaître,
dans la piaule de leur gamine. Les cons.
Arrivé à Paris, après un voyage en train avec une vieille
qui passa le trajet à me parler de ses petits enfants dont j'en avais rien à
foutre et un gosse qui pleurait un peu plus loin dans le wagon, j'eus la superbe surprise de la voir sur le pied de la gare, grand sourire même si un
peu timide. J'aime les filles timides. Elle était comme sur sa photo. Je
m'attendais à ce qu'elle soit plus petite, elle devait faire un bon mètre 70.
On alla d'abord manger dans un petit bistrot un bon steak,
en voyant son décolleté, j'avais eu une envie de viande bien saignante.
Seigneur Dieu, s'il y a bien une chose que tu as réussi dans ta création c'est
le boule et les jumeaux de certaines filles. Un vrai délice, j'avais envie de
lui mettre une gigantesque baffe dans la gueule pour la faire taire, lui
arracher ses fringues acheté dans ces magasins de petites qualités, la
retourner sur la table et m'en faire mon dessert.
Malheureusement, la bien séance m'en empêcha. Je me promis,
ainsi qu'à mon sexe Paul Vermus (Chacun donne le nom qu'il lui plait à son
sexe), de me rattraper un peu plus tard.
Sortit de table, on flâna encore un peu dans la ville, il
faisait bon, elle sentait bon. Je mis ses petites fesses dans ma main gauche et
commença le malaxage. Bien ferme comme je les aime. C'est que les jeunes filles
d'aujourd'hui font attention à leur corps.
Arrivé chez elle, après avoir tapé la conversation avec les
parents, elle me montra la maison, la salle de bain, elle me proposa de prendre
une douche.
Je m’approchai d'elle pour la plaquer contre le mur et
l'embrassa, la caressant.
Surprise, elle ne savait plus quoi faire. Je sortis mon sexe
dur et le pressa sur son ventre, chaud et doux.
Je la fit se mettre à genoux, un peu maladroite au départ,
ayant même peur qu'elle me raye le capot, elle s'améliora rapidement et me suça
bientôt comme une pro.
Je la fis se déshabiller totalement et la mit dans la
douche, lui demandant de se caresser sous l'eau avec du savon.
Elle s'en mit partout, un vrai délice pour les yeux. Pour
son âge, elle avait des formes d'adulte.
Une fois bien huilé, je la rejoignis, la courbai et
l'enfilai.
Elle avait perdu toute son inhibition, Elle me jetait des
regards de véritable actrice porno qui en veut. Ça tombe bien, je suis très
généreux.
Elle commença à trembler des jambes et me dit d'arrêter,
qu'elle n'en pouvait plus, qu'elle allait crier. Je lui dis de ne pas s'en
faire, que ses parents regardaient la télé et que de toute façon le bruit de la
douche ferait barrage sonore.
Elle commença à pousser des petits cris de plus en plus
sonores tout en essayant de se contenir.
Je lui proposai, par gentillesse de ma part, de ménager son
petit minou si confortable, si chaud, si doux pour sa porte de derrière. Enorme
choix pour elle, elle ne savait plus que faire. Je continuais mes va-et-vient
entre ses lèvres douces.
Elle finit par me dire d'accord. Ses jambes ne la soutenant
plus, elle était tombée à genoux. Mon sexe luisant, mélange de savon, de sa
mouille et de mon lubrifiant naturel, rentra comme dans du beurre entre ses
fesses. Quelles fesses!
Son cul était serré, un vrai plaisir.
Assez rapidement, à partir de là, je sentis la sève monter.
Je sortis en urgence de son cul, la fit pivoter et lui fourra à nouveau mon
sexe gonflé, brûlant au plus profond de sa gorge. Elle faillit se noyer sous
les rafales de ma douce crème blanche. Une fois apaisée, elle continua à lécher
et sucer mon chibre, doucement, affectueusement, délicatement et toujours avec
ce regard d'actrice porno mais cette fois-ci, pleinement rassasiée.
Totalement épuisé par le voyage et par la baise, je
m'écroulai sur son lit. Une couette, j'adore. Je ne supporte pas les
couvertures, ça gratte.
Elle me rejoignit toujours nue et se blottit dans mes bras.
Et merde, de la douceur maintenant... Elle me caressait le torse, le ventre, un
peu le sexe. Je lui dis de me lécher les tétons. On s'embrassa jusqu'à ce que
je tombe dans le sommeil.
Vers 5 heure du mat', je me réveillai en pleine forme. Elle
dormait sur le ventre, nue. Je malaxai son petit cul bien rebondi, écartai un
peu ses fesses et commençai à lécher son petit anus que j'avais écartelé
quelques heures plus tôt sous la douche. Une merveille.
Elle commença à se réveiller en gémissant et ondulant. Elle
se retourna et je lui bouffai le minou immédiatement. Un délice.
Quand je voulu remonter pour lui faire l'amour, elle me dit
qu'on ne pouvait pas parce que ses parents dormaient dans la piaule d'à côté.
J'eus l'impression de m'être
fait avoir et ça, j'aime pas. Si je lèche, c'est pour pouvoir passer
avec plus de facilité. Elle se retourna et se rendormit. J'avais la haine, mon
sexe était dur comme un parpaing que j'aurais voulu voir lui fracasser la nuque
à défaut de son petit anus.
Il fallait que j'évacue la sève qui montait et vite mais pas
envie de la gâcher dans un mouchoir alors, discrètement, je sortis de sa chambre,
dans le noir et me faufilai dans celle de ses parents. Son père faisait un
bruit dégueulasse avec ses ronflements, j'aurais pu baiser sa fille
tranquillement à côté sans problème, ses ronflements auraient fait une barrière
sonore...
J'étais de plus en plus dégouté.
J'étais nu en train de me masturber dans leur piaule qui
sentait le vieux.
Mon sexe était juste au-dessus de la tête de la mère de
famille. Dans le noir, je ne voyais pas grand-chose, j'essayai de viser les
narines de la mère quand mon sexe explosa de bonheur. Tout alla droit dans les
narines. La daronne eu un réflexe nasale auquel je ne m'attendais pas et le
foutre mélangé à sa morve sortit en un éclair sur mon sexe dans un bruit de
truie se jetant dans la boue.
Elle alluma la lumière et vit mon chibre bandé et luisant
recouvert de ma précieuse semence et de son mucus dégueulasse. Le même chibre
qui avait aéré sa petite fille sous sa douche. Elle cria. Le padré se réveilla
et vit la même scène. Halluciné, surement par la taille de mon précieux, il
resta la bouche grande ouverte. J'suis pas pd moi alors je sortis de leur
chambre. Ils crièrent "dégage de notre maison petit salopard". Leur
fille s'était réveillée, elle pleurait. Elle avait qu'à accepter de baiser,
mais non, madame voulait dormir... Ça lui apprendra.
Résultat des courses, je me retrouvai dehors à flâner dans
un Paris encore endormit. J'adore me balader. La vie est une gigantesque balade
dont il faut apprécier chaque instant.
samedi 8 septembre 2012
Inscrivez vous sur mon Facebook
Yo les dégénérés, juste pour vous dire que je suis en train d'écrire une grosse nouvelle qui va faire durcir votre sexe à tel point que vous pourrez vous auto-sucer.
J'ai créé pour l'occasion une page facebook grâce à laquelle je pourrai vous avertir plus facilement de quand je sors d'un coma éthylique et que je me mets à écrire.
Voici le lien alors incrivez vous bande de biatch : Mon facebook
vendredi 17 février 2012
Je me suis vomi dessus
Il pleuvait, la pluie était tiède, j’étais dans la rue, je sentais une chaleur douce m’envelopper. Une fille était allongée au milieu de la rue, son sang ruisselait jusqu’à la rigole, elle avait à peine dix ans, son cœur s’était arrêté.
Une voiture avait percutée la fillette qui était retombée comme une brique, la tête la première sur le sol, le sang coulait de sa tête.
On ne l’entendit pas retomber sur le sol, on n’entendit pas non plus le coup de frein (y en avait-il eu un ?), on n’entendit pas même le choc de la voiture sur le petit corps caché par qon anorak bleu. La pluie faisait comme une barrière sonore.
A part la pluie qui tombait, on n’entendait rien, la voiture était déjà partie laissant le petit corps sans vie avec le pain qu’il était allé chercher à la boulangerie pour le souper.
On entendait que la pluie, cette pluie qui était si douce sur ma peau, elle ruisselait sur mon visage, je me sentais bien, je recommençais à marcher, le regard dans le vide, le visage effacé, les muscles de mon corps relâchés, les bras pendants le long de mon corps, le pas lent, je continuais à marcher.
Je regardais le sol puis soulevais ma tête pour regarder le ciel, il faisait nuit, je ne voyais aucun nuage ou ne voyais que ça, difficile à dire, la pluie tombait sur mon visage, je me sentais léger.
La pluie se calma, j’étais trempé, mes cheveux étaient plaqués sur ma tête, mon tee-shirt me collait à la peau, le ciel n’avait pas changé de couleur, toujours noir, je ne voyais pas la lune, j’aurais aimé la voir, je ne sais pas pourquoi mais je voulais la voir, la rue était trop étroite et les maisons étaient trop hautes, alors je rentrai chez moi et j’en profitai pour prendre un bain et me changer.
Mon réveil indiquait minuit, je regardais par la fenêtre, mais je ne voyais toujours pas la lune.
J’allai à la cuisine et me servis un verre de vin rouge, mangeai la dernière banane et me resservis un autre verre de vin.
J’allai dans le salon, éteignis toutes les lumières et m’installa dans le fauteuil brun en tissu dont les ressorts étaient complètement foutus.
Je me saisis, mon réveil sonnait, je l’avais mis sur la petite table en verre qui ne tenait pas bien, il était sept heures, je n’ai pas dormi, enfin je crois, je sais plus.
J’allumai la télévision et la re-éteints avant même qu’elle ne s’allume, j’allai jusqu'à la cuisine et me préparai deux toasts au chocolat et n’en mangeai qu’un, j’alla ensuite jusqu'à la salle de bain et me lava les dents, après une minute, quand je me rendis compte que je n’avais pas mis de dentifrice, j’arrêtai pour en mettre et repris.
J’ouvris une fenêtre et sentis un air plus frais que le jour d’avant, la pluie avait fait baisser la température élevée qu’on avait eu depuis plus d’une semaine mais il faisait toujours assez chaud pour se promener en tee-shirt.
Il était huit heures sur le réveil qui était toujours sur la petite table en verre dans le salon, je sortis pour aller au bureau quand je me rendis compte qu’on était samedi, j’allais rouvrir la porte de chez moi quand je décidai d’aller jusqu’au parc de Bruxelles histoire de me dégourdir les jambes.
Je repassai par la rue où la fillette s’était fait renverser la veille, rien ne pouvait nous faire penser que quoi que ce soit de ce genre ce soit produit là, je repensais à mon comportement d’hier, je n’avais rien fait, je l’avais regardé et puis j’étais parti comme si de rien n’était, c’était peut-être à cause de l’alcool que j’avais bu dans un bar ou bien le fait que des histoires comme ça arrive tous les jours dans le monde et que je n’y pouvais rien, même si je l’avais voulu.
En fait non, c’était sans doute pour une autre raison, quelque chose c’était cassé en moi récemment.
Je ne ressentais plus rien, ou en tout cas j’en avais l’impression, ou je ne voulais plus.
En fait non, j'en avais juste rien à foutre de cette petite salope. kikoo lol
Faut que j'arrête la biture, j'me suis vomi dessus
Une voiture avait percutée la fillette qui était retombée comme une brique, la tête la première sur le sol, le sang coulait de sa tête.
On ne l’entendit pas retomber sur le sol, on n’entendit pas non plus le coup de frein (y en avait-il eu un ?), on n’entendit pas même le choc de la voiture sur le petit corps caché par qon anorak bleu. La pluie faisait comme une barrière sonore.
A part la pluie qui tombait, on n’entendait rien, la voiture était déjà partie laissant le petit corps sans vie avec le pain qu’il était allé chercher à la boulangerie pour le souper.
On entendait que la pluie, cette pluie qui était si douce sur ma peau, elle ruisselait sur mon visage, je me sentais bien, je recommençais à marcher, le regard dans le vide, le visage effacé, les muscles de mon corps relâchés, les bras pendants le long de mon corps, le pas lent, je continuais à marcher.
Je regardais le sol puis soulevais ma tête pour regarder le ciel, il faisait nuit, je ne voyais aucun nuage ou ne voyais que ça, difficile à dire, la pluie tombait sur mon visage, je me sentais léger.
La pluie se calma, j’étais trempé, mes cheveux étaient plaqués sur ma tête, mon tee-shirt me collait à la peau, le ciel n’avait pas changé de couleur, toujours noir, je ne voyais pas la lune, j’aurais aimé la voir, je ne sais pas pourquoi mais je voulais la voir, la rue était trop étroite et les maisons étaient trop hautes, alors je rentrai chez moi et j’en profitai pour prendre un bain et me changer.
Mon réveil indiquait minuit, je regardais par la fenêtre, mais je ne voyais toujours pas la lune.
J’allai à la cuisine et me servis un verre de vin rouge, mangeai la dernière banane et me resservis un autre verre de vin.
J’allai dans le salon, éteignis toutes les lumières et m’installa dans le fauteuil brun en tissu dont les ressorts étaient complètement foutus.
Je me saisis, mon réveil sonnait, je l’avais mis sur la petite table en verre qui ne tenait pas bien, il était sept heures, je n’ai pas dormi, enfin je crois, je sais plus.
J’allumai la télévision et la re-éteints avant même qu’elle ne s’allume, j’allai jusqu'à la cuisine et me préparai deux toasts au chocolat et n’en mangeai qu’un, j’alla ensuite jusqu'à la salle de bain et me lava les dents, après une minute, quand je me rendis compte que je n’avais pas mis de dentifrice, j’arrêtai pour en mettre et repris.
J’ouvris une fenêtre et sentis un air plus frais que le jour d’avant, la pluie avait fait baisser la température élevée qu’on avait eu depuis plus d’une semaine mais il faisait toujours assez chaud pour se promener en tee-shirt.
Il était huit heures sur le réveil qui était toujours sur la petite table en verre dans le salon, je sortis pour aller au bureau quand je me rendis compte qu’on était samedi, j’allais rouvrir la porte de chez moi quand je décidai d’aller jusqu’au parc de Bruxelles histoire de me dégourdir les jambes.
Je repassai par la rue où la fillette s’était fait renverser la veille, rien ne pouvait nous faire penser que quoi que ce soit de ce genre ce soit produit là, je repensais à mon comportement d’hier, je n’avais rien fait, je l’avais regardé et puis j’étais parti comme si de rien n’était, c’était peut-être à cause de l’alcool que j’avais bu dans un bar ou bien le fait que des histoires comme ça arrive tous les jours dans le monde et que je n’y pouvais rien, même si je l’avais voulu.
En fait non, c’était sans doute pour une autre raison, quelque chose c’était cassé en moi récemment.
Je ne ressentais plus rien, ou en tout cas j’en avais l’impression, ou je ne voulais plus.
En fait non, j'en avais juste rien à foutre de cette petite salope. kikoo lol
Faut que j'arrête la biture, j'me suis vomi dessus
jeudi 19 janvier 2012
L’alphabet pour les nuls
C’est la première fois pour moi que je raconte cet événement tragique qui est arrivé au sein de ma famille lors de ma prime jeunesse.
J’avais alors 10 ans et un petit frère du nom de Patrick, je le détestais, il était handicapé mental et ne faisait que réciter son alphabet à longueur de journée.
En plus, il me forçait à réciter avec lui. Je lui donnais de temps en temps des coups de poing dans son gros bide mais rien y fait, il récitait encore et toujours son alphabet, il ne voulait pas fermer sa sale gueule de mongolien ashkénaze.
Un jour, alors que je revenais d’un match de foot, Patrick vint vers moi me réciter son alphabet et puis mordit ma balle. Sur le moment même, j’avais souri. Pour la première fois depuis sa naissance, il avait fait quelque chose qui me faisait sourire. Je dois bien avouer, maintenant qu’il y a prescription, que la balle avait roulé dans une merde de chien au parc et qu’il avait réussi à foutre sa bouche de baveux en plein dedans.
Après avoir mangé une putain de choucroute parce que c’était son repas préféré à ce con, je retournai jouer avec mes soldats et mes indiens. Mon petit frère me suivit et commença à réciter son alphabet. Arrivé à i comme indien, il commença à me dire qu’il en était un et qu'il courrait partout avec les animaux. Je lui dis qu’il était tellement gros que jamais il ne pourrait être un putain d’indien ni courir avec les animaux même s’il ressemblait à un sanglier après s’être pris un obélisque dans la gueule.
Mon père me cria de ne pas parler comme ça à mon petit frère, que je ne devais pas être trop dur avec lui.
Je dis à mon petit frère : "je suis dur avec toi parce que tu es mou avec ton gros bide, déjà qu’intellectuellement t’es con, mais en plus physiquement tu es gras, sculpte au moins ton corps."
Mon petit frère partit en courant dans sa chambre. Un peu plus tard on entendit un cri court mais fort. Toute ma famille courra vers la chambre de mon frère.
Ce con avait pris au premier degré mon conseil de se sculpter le corps et avec un burin et un marteau volé dans les outils de mon père, s’était péter 2 côtes. Heureusement, les côtes ayant perforé sa rate et son intestin, il ne souffrit pas trop longtemps.
Depuis je n’ai plus jamais mangé de choucroute. Comme quoi dans la vie, on peut tous tomber sur des handicapés qui nous font royalement chier mais un jour ou l’autre, ils disparaissent.
J’ai l’impression d’être devenu le La Fontaine du 21ème siècle avec mes fables sur les animaux.
J’avais alors 10 ans et un petit frère du nom de Patrick, je le détestais, il était handicapé mental et ne faisait que réciter son alphabet à longueur de journée.
En plus, il me forçait à réciter avec lui. Je lui donnais de temps en temps des coups de poing dans son gros bide mais rien y fait, il récitait encore et toujours son alphabet, il ne voulait pas fermer sa sale gueule de mongolien ashkénaze.
Un jour, alors que je revenais d’un match de foot, Patrick vint vers moi me réciter son alphabet et puis mordit ma balle. Sur le moment même, j’avais souri. Pour la première fois depuis sa naissance, il avait fait quelque chose qui me faisait sourire. Je dois bien avouer, maintenant qu’il y a prescription, que la balle avait roulé dans une merde de chien au parc et qu’il avait réussi à foutre sa bouche de baveux en plein dedans.
Après avoir mangé une putain de choucroute parce que c’était son repas préféré à ce con, je retournai jouer avec mes soldats et mes indiens. Mon petit frère me suivit et commença à réciter son alphabet. Arrivé à i comme indien, il commença à me dire qu’il en était un et qu'il courrait partout avec les animaux. Je lui dis qu’il était tellement gros que jamais il ne pourrait être un putain d’indien ni courir avec les animaux même s’il ressemblait à un sanglier après s’être pris un obélisque dans la gueule.
Mon père me cria de ne pas parler comme ça à mon petit frère, que je ne devais pas être trop dur avec lui.
Je dis à mon petit frère : "je suis dur avec toi parce que tu es mou avec ton gros bide, déjà qu’intellectuellement t’es con, mais en plus physiquement tu es gras, sculpte au moins ton corps."
Mon petit frère partit en courant dans sa chambre. Un peu plus tard on entendit un cri court mais fort. Toute ma famille courra vers la chambre de mon frère.
Ce con avait pris au premier degré mon conseil de se sculpter le corps et avec un burin et un marteau volé dans les outils de mon père, s’était péter 2 côtes. Heureusement, les côtes ayant perforé sa rate et son intestin, il ne souffrit pas trop longtemps.
Depuis je n’ai plus jamais mangé de choucroute. Comme quoi dans la vie, on peut tous tomber sur des handicapés qui nous font royalement chier mais un jour ou l’autre, ils disparaissent.
J’ai l’impression d’être devenu le La Fontaine du 21ème siècle avec mes fables sur les animaux.
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