Moi j'y étais pour dégager. Cette ville de Bruxelles est à
l'image de ses habitants, sale, dégueulasse, souillée.
Partir de cette ville histoire d'un weekend end, changer d'environnement,
voir du monde... un autre monde.
Une petite lectrice de mes écrits répondant au doux nom de
Clara, assez dérangée pour les apprécier, m'avait contactée en me disant toutes
les conneries habituelles, me racontant sa vie pas intéressante pour un sous.
M'ennuyant énormément, je m'étais distrait en lui répondant. Elle habite Paris,
une autre ville dégueulasse.
Sa conversation n'était pas très intéressante mais pour une
fois qu'on ne m'insultait pas... De fil en aiguille, elle se livra de plus en
plus, m'envoyant des photos et des culottes avec son odeur suite à mes demandes
répétées. Une très belle fille, de quoi filer la trique à un âne mort.
Une belle crinière blonde, mince, pas grassouillette, de
jolis yeux bleus.
Mais de nos jours, avec l'informatique et tous ces
programmes à la con, on peut vite trafiquer les photos. Je décidai donc de la
voir en vrai. Au pire, si elle me faisait un faux plan, je me serais retrouvé
seul à paris pour 2 jours.
Elle habitait encore chez ses parents, deux bons vieux
pépères et mémères en peignoirs et pantoufles. Autant les pantoufles j'adore,
c'est confortable, doux et chaud. Une sorte de vagin pour les pieds. Autant un
peignoir, ça gratte et ça sert.
Ils avaient accepté que je passe la nuit chez eux sans me connaître,
dans la piaule de leur gamine. Les cons.
Arrivé à Paris, après un voyage en train avec une vieille
qui passa le trajet à me parler de ses petits enfants dont j'en avais rien à
foutre et un gosse qui pleurait un peu plus loin dans le wagon, j'eus la superbe surprise de la voir sur le pied de la gare, grand sourire même si un
peu timide. J'aime les filles timides. Elle était comme sur sa photo. Je
m'attendais à ce qu'elle soit plus petite, elle devait faire un bon mètre 70.
On alla d'abord manger dans un petit bistrot un bon steak,
en voyant son décolleté, j'avais eu une envie de viande bien saignante.
Seigneur Dieu, s'il y a bien une chose que tu as réussi dans ta création c'est
le boule et les jumeaux de certaines filles. Un vrai délice, j'avais envie de
lui mettre une gigantesque baffe dans la gueule pour la faire taire, lui
arracher ses fringues acheté dans ces magasins de petites qualités, la
retourner sur la table et m'en faire mon dessert.
Malheureusement, la bien séance m'en empêcha. Je me promis,
ainsi qu'à mon sexe Paul Vermus (Chacun donne le nom qu'il lui plait à son
sexe), de me rattraper un peu plus tard.
Sortit de table, on flâna encore un peu dans la ville, il
faisait bon, elle sentait bon. Je mis ses petites fesses dans ma main gauche et
commença le malaxage. Bien ferme comme je les aime. C'est que les jeunes filles
d'aujourd'hui font attention à leur corps.
Arrivé chez elle, après avoir tapé la conversation avec les
parents, elle me montra la maison, la salle de bain, elle me proposa de prendre
une douche.
Je m’approchai d'elle pour la plaquer contre le mur et
l'embrassa, la caressant.
Surprise, elle ne savait plus quoi faire. Je sortis mon sexe
dur et le pressa sur son ventre, chaud et doux.
Je la fit se mettre à genoux, un peu maladroite au départ,
ayant même peur qu'elle me raye le capot, elle s'améliora rapidement et me suça
bientôt comme une pro.
Je la fis se déshabiller totalement et la mit dans la
douche, lui demandant de se caresser sous l'eau avec du savon.
Elle s'en mit partout, un vrai délice pour les yeux. Pour
son âge, elle avait des formes d'adulte.
Une fois bien huilé, je la rejoignis, la courbai et
l'enfilai.
Elle avait perdu toute son inhibition, Elle me jetait des
regards de véritable actrice porno qui en veut. Ça tombe bien, je suis très
généreux.
Elle commença à trembler des jambes et me dit d'arrêter,
qu'elle n'en pouvait plus, qu'elle allait crier. Je lui dis de ne pas s'en
faire, que ses parents regardaient la télé et que de toute façon le bruit de la
douche ferait barrage sonore.
Elle commença à pousser des petits cris de plus en plus
sonores tout en essayant de se contenir.
Je lui proposai, par gentillesse de ma part, de ménager son
petit minou si confortable, si chaud, si doux pour sa porte de derrière. Enorme
choix pour elle, elle ne savait plus que faire. Je continuais mes va-et-vient
entre ses lèvres douces.
Elle finit par me dire d'accord. Ses jambes ne la soutenant
plus, elle était tombée à genoux. Mon sexe luisant, mélange de savon, de sa
mouille et de mon lubrifiant naturel, rentra comme dans du beurre entre ses
fesses. Quelles fesses!
Son cul était serré, un vrai plaisir.
Assez rapidement, à partir de là, je sentis la sève monter.
Je sortis en urgence de son cul, la fit pivoter et lui fourra à nouveau mon
sexe gonflé, brûlant au plus profond de sa gorge. Elle faillit se noyer sous
les rafales de ma douce crème blanche. Une fois apaisée, elle continua à lécher
et sucer mon chibre, doucement, affectueusement, délicatement et toujours avec
ce regard d'actrice porno mais cette fois-ci, pleinement rassasiée.
Totalement épuisé par le voyage et par la baise, je
m'écroulai sur son lit. Une couette, j'adore. Je ne supporte pas les
couvertures, ça gratte.
Elle me rejoignit toujours nue et se blottit dans mes bras.
Et merde, de la douceur maintenant... Elle me caressait le torse, le ventre, un
peu le sexe. Je lui dis de me lécher les tétons. On s'embrassa jusqu'à ce que
je tombe dans le sommeil.
Vers 5 heure du mat', je me réveillai en pleine forme. Elle
dormait sur le ventre, nue. Je malaxai son petit cul bien rebondi, écartai un
peu ses fesses et commençai à lécher son petit anus que j'avais écartelé
quelques heures plus tôt sous la douche. Une merveille.
Elle commença à se réveiller en gémissant et ondulant. Elle
se retourna et je lui bouffai le minou immédiatement. Un délice.
Quand je voulu remonter pour lui faire l'amour, elle me dit
qu'on ne pouvait pas parce que ses parents dormaient dans la piaule d'à côté.
J'eus l'impression de m'être
fait avoir et ça, j'aime pas. Si je lèche, c'est pour pouvoir passer
avec plus de facilité. Elle se retourna et se rendormit. J'avais la haine, mon
sexe était dur comme un parpaing que j'aurais voulu voir lui fracasser la nuque
à défaut de son petit anus.
Il fallait que j'évacue la sève qui montait et vite mais pas
envie de la gâcher dans un mouchoir alors, discrètement, je sortis de sa chambre,
dans le noir et me faufilai dans celle de ses parents. Son père faisait un
bruit dégueulasse avec ses ronflements, j'aurais pu baiser sa fille
tranquillement à côté sans problème, ses ronflements auraient fait une barrière
sonore...
J'étais de plus en plus dégouté.
J'étais nu en train de me masturber dans leur piaule qui
sentait le vieux.
Mon sexe était juste au-dessus de la tête de la mère de
famille. Dans le noir, je ne voyais pas grand-chose, j'essayai de viser les
narines de la mère quand mon sexe explosa de bonheur. Tout alla droit dans les
narines. La daronne eu un réflexe nasale auquel je ne m'attendais pas et le
foutre mélangé à sa morve sortit en un éclair sur mon sexe dans un bruit de
truie se jetant dans la boue.
Elle alluma la lumière et vit mon chibre bandé et luisant
recouvert de ma précieuse semence et de son mucus dégueulasse. Le même chibre
qui avait aéré sa petite fille sous sa douche. Elle cria. Le padré se réveilla
et vit la même scène. Halluciné, surement par la taille de mon précieux, il
resta la bouche grande ouverte. J'suis pas pd moi alors je sortis de leur
chambre. Ils crièrent "dégage de notre maison petit salopard". Leur
fille s'était réveillée, elle pleurait. Elle avait qu'à accepter de baiser,
mais non, madame voulait dormir... Ça lui apprendra.
Résultat des courses, je me retrouvai dehors à flâner dans
un Paris encore endormit. J'adore me balader. La vie est une gigantesque balade
dont il faut apprécier chaque instant.